Arrive dans le futur par design, et non par accident

par Louis-Samuel Jacques le 9 mai 2025 05:15:00

<span id="hs_cos_wrapper_name" class="hs_cos_wrapper hs_cos_wrapper_meta_field hs_cos_wrapper_type_text" style="" data-hs-cos-general-type="meta_field" data-hs-cos-type="text" >Arrive dans le futur par design, et non par accident</span>

Arrive dans le futur par design, et non par accident

Plusieurs études le confirment : la majorité des entrepreneurs se sentent menacés par l'innovation des autres.

Autrement dit, la majorité croit que la capacité d'innover de leur organisation n'est pas à la hauteur de celle de leurs concurrents.

Avec la vitesse de développement de l'intelligence artificielle et des technologies, ce phénomène n'est pas près de s'inverser.

C'est potentiellement angoissant et ça peut mener à une forme de paralysie stratégique.

Comme dans toute situation, céder à la panique est une option. 

Mais il y a une autre voie : augmenter le débit et la pertinence des innovations que ton organisation développe et intègre. Et de le faire à coûts prévisibles et à risques contrôlés. 

Est-ce trop beau pour être vrai? À toi de juger en t'inscrivant à notre prochain atelier à ce sujet le 12 juin sur l'innovation à haut rendement, à faible coût et à faible risque.  

Ton organisation sera différente dans 5 ans - comme elle l'est déjà comparée à il y a 5 ans. Cet atelier-conférence t'aidera à monter une feuille de route pour y arriver par design, et non par accident. 

Profitons de l'espace que nous avons cette semaine pour aborder deux éléments que nous creuserons ensemble le 12 juin. 

1. Avoir plus d'idées que de capacité pour les réaliser est un problème commun

Beaucoup se vantent de leur capacité à générer des idées. 

Mais l'inverse est plutôt rare.

L'abondance d'idées crée plus de problèmes d'entreprise que le manque d'idées. 

Ce qui fait la différence, ce n'est pas la quantité des idées - c'est plutôt comment on s'organise pour gérer cette abondance.

Sablier idées

2. Quelles idées méritent des ressources?

Avoir des idées ne coûte rien. Ce qui coûte cher, c'est de les développer.

Ça coûte encore plus cher d'implanter des « mauvaises » innovations, mais ça fera l'objet d'une autre publication. 

Donc avant de faire passer une idée de la liste des « idées » à celle des « idées en développement » et lui attribuer des ressources, les organisations qui innovent avec succès définissent un seuil ou un critère de passage avant de financer une idée.

Voici trois exemples concrets d'application de ce principe : 

  • Google est réputé pour le critère du 10X. Nous en avons parlé ici. C'est une des raisons qui explique la croissance d'Alphabet ces dernières décennies.
  • D'autres y vont par la méritocratie : par exemple, chaque trimestre, les trois idées qui montrent le plus de potentiel reçoivent de l'attention et des ressources.
  • Dans Speed and Scale, dont nous avons parlé ici, l'auteur John Doerr décrit que son équipe d'investisseurs s'intéresse à des technologies qui ont le potentiel de réduire la production de gaz à effet de serre d'un minimum de 1%.

Chez vous, ça pourrait avoir l'air de quoi? 

Viens en parler avec d'autres entrepreneurs et leaders en organisation le 12 juin.
📍 Détails et réservations : https://lsjacques.com/evenements/innove.
⚠️ La réduction pour inscriptions hâtives se termine le 2 juin. 

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