Bonjour! Avec 4 heures de retard (pour des raisons hors de mon contrôle je vous le jure!), voici un spécial “planification”.
Aujourd’hui, tout ce que vous pouvez influencer, ce sont vos comportements et votre attitude.
Au contraire, vous avez très peu d’influence, pour ne pas dire aucune, sur les événements qui vont se présenter à vous.
Cependant, les événements qui se présentent à vous aujourd’hui sont le résultat, en bonne partie, d’actions que vous avez posées dans le passé. Certaines ont été posées hier, d’autres au début de l’année, et d’autres encore il y a 5, 10 ou même 20 ans.
Quel type d’événements voulez-vous expérimenter dans 5 ans? Dans 3 mois? Quelles actions devez-vous alors poser aujourd’hui pour augmenter les chances que ces événements surviennent?
Mettez donc la réponse à ces questions dans votre plan personnel. On entame aujourd’hui la dernière semaine d’un trimestre, et la semaine suivante marque le début d’un autre.
Je me base ici sur un principe d’exécution simple et puissant : un trimestre compte environ 13 semaines; on prend la dernière semaine pour planifier le trimestre suivant.
Ce système est beaucoup plus performant que planifier annuellement ou pire, tous les 3 ou 5 ans.
Faites-moi signe si vous voulez en savoir plus, j’ai beaucoup de références et gabarits de planification qui peuvent vous éviter le syndrome de la page blanche.
Le premier réflexe que nous avons souvent, quand nous planifions, est d’ajouter des priorités, des actions, des engagements. Malheureusement, cette approche est épuisante pour vous et souvent davantage pour vos équipes.
Un défi que je lançais à mes clients, quand je gagnais ma vie à faire de la planification stratégique, était d’enlever deux priorités pour pouvoir en ajouter une. Vous voulez ajouter un projet? Mettez d’abord fin à deux autres (ceux qui ont le moins de valeur, évidemment).
Michael Porter a d’ailleurs déjà écrit que la stratégie consiste à décider ce qu’on ne fait pas.
Soyez impitoyable là-dessus, ça va vous tirer vers le haut.
