Encore des transitions énergivores | Ratio de 4 : 1 en coaching | It's Not About The Nail

par Louis-Samuel Jacques le 10 sept. 2021 00:00:00

<span id="hs_cos_wrapper_name" class="hs_cos_wrapper hs_cos_wrapper_meta_field hs_cos_wrapper_type_text" style="" data-hs-cos-general-type="meta_field" data-hs-cos-type="text" >Encore des transitions énergivores | Ratio de 4 : 1 en coaching | It's Not About The Nail</span>

Bonjour, voici, comme chaque vendredi matin, 3 idées de leadership qui se lisent en 3 minutes et qui visent à vous aider à passer à l’action. Le suivi vous appartient.

Encore un gros mois de transitions

Les transitions prennent beaucoup d’énergie émotionnelle. Cette année, tout fait en sorte que la rentrée soit plus énergivore que d’habitude : les vacances inhabituelles, l’arrivée indécise de la 4e vague, la sortie interminable de la pandémie, le retour hésitant au bureau, la rentrée scolaire aux contours incertains… Sans parler des défis personnels et d’entreprise que tout cela entraîne.

C’est un peu comme si, sans trop qu’on s’en rende compte, on se tenait maintenant tout le temps en équilibre sur un ballon d’équilibre (ou un surf à pagaie, pour être à la mode) plutôt que sur du dur.

Il est alors normal de se sentir soi-même à la recherche de repères et de son énergie - c’est le cas pour vous et aussi pour les personnes qui vous entourent.

Il n’y a pas de baguette magique pour résoudre tout cela, mais on ne peut pas se tromper avec 1) de l’empathie envers soi-même et les autres et 2) le maintien de repères intentionnels tels que la méditation, la visualisation, la stratégie, les rituels, l’activité physique régulière, etc. De telles routines aident à améliorer le niveau d’énergie et à maintenir un meilleur focus sur ce qui compte vraiment.

Le coaching n'est pas seulement pour régler des problèmes

“Ça va bien, je n’ai pas vraiment besoin de coaching” est une phrase que j’ai souvent entendue. Je serais prêt à parier ma main gauche que si Roger Federer avait eu cette attitude, personne d’entre nous ne saurait qui est Roger Federer.

Lawrence King1 recommande de viser un ratio de 4 pour 1 dans nos rencontres individuelles.

Plus en détail :

  • Pour chaque sujet négatif qu’on aborde, on essaie d’en couvrir 4 qui sont positifs (des projets, par exemple).

  • On se concentre sur le professionnel, mais on n’hésite pas à parler du personnel au besoin - typiquement, ça devient pertinent quand le professionnel interfère avec le personnel, et vice-versa.

  • On s’organise pour parler du long terme quatre fois plus souvent que du court terme.

C’est un guide dont je me sers dans ma propre pratique avec mes membres. Et comme pour tout ce qu’on fait dans T.E.C., si c’est bon pour le groupe, c’est bon pour vous aussi dans votre propre vie, particulièrement auprès des personnes qui relèvent de vous.

“Veux-tu que je t’écoute pour suggérer des solutions, ou tu veux juste que je t’écoute?”

On ne pose pas cette question assez souvent.

Écoutez cette vidéo de moins de 2 minutes, vous allez rire et ça illustre à merveille la valeur de l’empathie basée sur l’écoute, qui précède l’empathie basée sur la recherche de solutions.

Bonne semaine!

1

Lawrence “Larry” King est un collègue qui a été reconnu en 2000 comme ayant été le meilleur président de groupe T.E.C. du millénaire grâce à l’ensemble de son oeuvre.

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