Choisir ses problèmes | Pour résoudre des situations en équipe | Remettez de l'amour dans votre organisation

par Louis-Samuel Jacques le 9 févr. 2024 00:00:00

<span id="hs_cos_wrapper_name" class="hs_cos_wrapper hs_cos_wrapper_meta_field hs_cos_wrapper_type_text" style="" data-hs-cos-general-type="meta_field" data-hs-cos-type="text" >Choisir ses problèmes | Pour résoudre des situations en équipe | Remettez de l'amour dans votre organisation</span>

Comme promis la semaine dernière, voici de nouvelles idées visant à diminuer les chances de passer notre vie à jouer au Business problems whack-a-mole.

Comme leaders, nous ne sommes pas des créateurs de solutions, nous sommes des designers de problèmes

Une mauvaise solution à un problème défini correctement amplifie le vrai problème et en crée aussi de nouveaux.

Une bonne solution au mauvais problème aussi.

La meilleure solution possible déplace le problème. C’est le mieux qu’on puisse faire.

Penser qu’il n’y a pas de goulot à un processus est vivre dans un monde de licornes. Il y aura toujours des obstacles, des problèmes et des goulots.

Notre travail consiste à les choisir et d’en augmenter la simplicité, la prévisibilité, l’optionalité - ou inversement, d’en diminuer la complexité, l’intensité, et/ou l’imprévisibilité.

En somme, une façon de voir la stratégie pourrait être de dire : quels problèmes voulons-nous avoir, et ne pas avoir? Par exemple : décider de ne pas avoir de dette crée un certain nombre d’autres défis (notre coût du capital augmente, notre croissance peut être plus lente, etc.) Autre exemple : ne pas vouloir avoir d’accident de travail entraîne aussi des coûts, ralentit des processus, force à faire des réunions, etc.

Une cartographie de la résolution de problèmes

Nous avons travaillé pour cartographier la résolution de problèmes complexes. Voici ce que ça donne :

Il s’agit en fait de la superposition de deux processus décrits récemment où nous suggérions de brainstormer correctement en suivant ces quatre étapes : diverger, multiplier les idées, converger, puis décider.

Le premier diamant sert à trouver la bonne définition du problème, et le second sert à trouver la bonne solution.

Nous nous servirons de ce schéma pour cheminer dans nos rencontres au lieu du modèle du sablier. Comme pour tous les autres outils et expériences que nous créons, ce nouveau modèle va servir dans nos rencontres T.E.C., et peut être utilisé aussi dans vos entreprises.

Pour la Saint-Valentin : (re)mettre de l’amour dans son organisation

Marcus Buckingham, co-créateur du système StrenghtsFinder, dit pourquoi et comment dans cet article de HBR et dans son dernier livre, Love + Work.

Les gens qui sont en amour avec leur travail, leur équipe ou leur entreprise sont beaucoup plus productifs et résolvent plus de problèmes.

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