Plusieurs PDG, entrepreneurs et gestionnaires aspirent à adopter une posture de coach plus souvent, mais n’y arrivent pas et reviennent à leurs réflexes et zones de familiarité, dont :
Donner son opinion
Dire quoi faire
Poser un jugement sur la situation
Si ça ne fonctionne pas :
Congédier
Se plaindre
Capoter / se frustrer / se décourager / désespérer (et recommencer)
Voici un modèle que j’ai développé pour me guider moi-même dans mes premières années de coach professionnel et dont je me sers encore régulièrement. Il n’est ni nécessaire ni suffisant, mais aide à retrouver ses repères quand on ne sait plus trop où la conversation s’en va.
Précision : On peut couvrir les étapes dans cet ordre ou dans le désordre. On peut aussi faire des allers-retours. En fait, c’est presque toujours ce qui arrive.
Rappel : Nous avons déjà élaboré sur la définition du coaching.
Le pouvoir peut créer de la dépendance. Le contrôle aussi.
Quoi d’autre? L’argent, le prestige, le court terme.
Ah, il y a aussi de se sentir indispensable à d’autres.
Une intuition : vos mauvais patrons étaient probablement accros à l’un ou plusieurs de ces éléments.
L’antidote? Ce N’EST PAS de renoncer à tout ce qui peut créer de la dépendance. Ce n’est tout simplement pas possible (et rarement souhaitable) de s’en isoler complètement.
Pour lutter contre ces dépendances, il est plus utile :
d’opérer en fonction d’une raison d’être, ce qui oblige d’abord de la découvrir
de prendre du recul fréquemment
Dormir
Parler - seul, à quelqu’un, ou avec quelqu’un
Écrire - de façon automatique ou structurée, dans un journal ou à l’intention de quelqu’un
S’activer physiquement
Méditer
Lire
Réfléchir
Respirer
Consulter sa liste de vérification en situation de stress
Entre nous, ces éléments ne font pas partie de la liste :
L'alcool
Les drogues
Se plaindre
Envoyer ce qu’on a écrit à la personne concernée sans prendre un recul additionnel