On entend souvent les journalistes demander en entrevue « Est-ce qu’on devrait s’inquiéter devant tel ou tel phénomène ». Chaque fois, une voix un peu cynique surgit en moi et demande « En quoi ça va aider de s’inquiéter? ».
C’est la même chose pour le stress et pour l’anxiété. Ces émotions sont associées à des manifestations hormonales et comportementales qui requièrent de l’attention, mais qui ne corrigent pas souvent la situation.
Plutôt que de s’inquiéter, il est préférable de se demander ce qui nous stresse et de chercher les actions qui pourraient diminuer le stress à sa source, ou lui donner un sens.
Au sujet des peurs et des inquiétudes, je vous recommande cet excellent épisode de podcast (37 minutes à 1X).
Il s’agit d’une conversation entre Vered Kogan et Dr Rebecca Heiss, deux conférencières avec TEC/VISTAGE que j’ai connues personnellement et qui viendront, espérons-le, tenir un atelier avec nos groupes prochainement.
Dr Heiss suggère plusieurs outils appuyés par la science et actionnables rapidement :
Pour avoir moins peur
Pour être plus heureux
Pour être moins anxieux
Divulgâcheur : respirer mieux fait partie des nombreuses solutions suggérées.
Une expression en espagnol pour faire changement.
Ça signifie que demander et se faire dire non revient au même que de ne pas demander et si on demande, il y a au moins des chances de se faire dire oui.
Autrement dit, on ne perd rien à demander quelque chose parce que le pire qu’il peut arriver est de se faire dire non et de se retrouver où on était avant de demander.
¡Hasta luego!