Parmi les éléments de l'infographie que je vous ai partagée la semaine dernière sur les actions à poser pour gagner en équipe, celui qui est particulièrement incompris et peut-être aussi inconfortable est le concept de vulnérabilité.
La vulnérabilité est un gros mot qui ne veut pas nécessairement dire de pleurer sur l’épaule du voisin sur demande. C’est surtout exprimer des choses aussi simples que :
Demander de l’aide
Reconnaître qu’on s’est trompé
Mentionner qu’on veut apprendre ou s’améliorer
Recevoir des feed-back avec ouverture et curiosité
Finalement, on pourrait parler d’humilité.
Pourquoi c’est important? Imaginez une équipe où l’inverse se produit et où on cache ses erreurs ou personne ne demande de l’aide… Avez-vous le goût d’en faire partie? Pouvez-vous imaginer que cette équipe gagne quoi que ce soit de façon soutenue, à long terme?
Or, la vulnérabilité est contagieuse et comme leader, on crée la norme en donnant l’exemple.
Dernière nuance : je crois fortement à la vulnérabilité partagée et non à une vulnérabilité qui tend vers l’exhibitionnisme qu’on voit souvent sur les médias sociaux.
On a beaucoup à apprendre de Jim Collins, qui nous ramène avec ces mots à nos décisions et nos actions, qui font aussi partie de nos responsabilités fondamentales.
J’ai longtemps été frappé d’apprendre que quelqu'un lisait X livres par mois. Initialement, je le traitais intérieurement de menteur. Mais finalement, avec le temps, j'ai développé plusieurs approches que je vous partage aujourd'hui.
Le principe clé qui intègre tout ça? Le but est de s’exposer à un plus grand volume d’idées pertinentes, et non de lire des livres entiers. Tout découle de ce changement de focus.
La semaine prochaine, nous verrons des principes pour lire mieux, donc pour retenir davantage de nos lectures.