Quand on commence à avoir du succès, on ne peut plus dire “oui” à tout : il en va de notre survie.
Et dire “non” déplaît souvent, pour toutes sortes de raisons.
Une autre option souvent utilisée est de ne pas répondre ou pire, de dire “oui”, mais ne rien faire… C’est probablement celle qui est la plus violente.
Je vous suggère aujourd’hui d’explorer deux autres possibilités : le “oui” conditionnel, et les questions ouvertes.
On peut rendre notre “oui” conditionnel à un prix, à un délai, à une réponse de notre interlocuteur, à un niveau de qualité, ou à tout autre facteur important.
Il s’agit souvent de l’option qui promet d’augmenter la valeur de part et d’autre. Ça prend possiblement plusieurs formes, par exemple : “Avec plaisir, nous pourrons partir ce projet en février avec un budget de 2X $”.
Cette approche est très commune en ventes et révèle aussi beaucoup de valeur en leadership.
Avant de se compromettre avec un “oui” ou un “non”, on peut demander par exemple :
Pour quelles raisons as-tu besoin de mon aide là-dessus?
Qui d’autre pourrait aussi t’aider?
Si tu étais seul, que ferais-tu?
Quelles sont les alternatives à investir du temps dans ce projet?
En disant oui à cela, à quoi devons-nous dire non?
En bonus : 3 livres de grande qualité pour explorer comment être plus intentionnel dans ses réponses à des demandes et tentations :
Bonne semaine!