Cette semaine, j’aborde les mêmes thèmes que dans mon bulletin de la semaine dernière, quoique sous un angle différent.
Je connais plusieurs leaders qui angoissent à l’idée de donner du feedback. Pourtant, les humains ont besoin de savoir comment ils contribuent aux objectifs du projet auquel ils participent.
Voici un guide pour vous aider à offrir de meilleures rétroactions.
On sait que la dopamine fait partie du circuit des dépendances.
Notre cerveau en relâche chaque fois qu’on résout un problème. La dose est la même, que ce soit un problème facile (ex. : compléter un sudoku) ou complexe (ex. : acquérir une entreprise).
Ainsi, résoudre un problème trivial est aussi satisfaisant qu’accomplir un défi important : nos systèmes neuraux et hormonaux valorisent mal la valeur.
Ça peut donc nous tirer vers le bas.
Ça prend donc beaucoup d'intention, de bonnes habitudes et une culture délibérée pour que les défis à haute valeur soient priorisés de façon systématique dans votre vie et dans votre organisation.
Je le dis souvent, je ne demande rien aux autres que je ne fais pas moi-même.
J’aspire à ce que les personnes qui me côtoient écrivent une plus belle histoire et qu’ainsi, on vive dans le plus bel endroit au monde.
Cette raison d’être me donne énormément d’énergie. D’autant plus qu’à travers l’étendue des équipes des membres de mes groupes T.E.C., nous avons une influence à des endroits tels que Saint-Georges, Montréal, L’Isle-Verte, Val-d’Or, Goose Bay, l’Ontario, l’Arizona, la Floride, le Maroc, la Turquie, etc.
Actuellement, je réponds à mon Why en présidant mes groupes T.E.C. avec intention et j’anticipe le faire tant et aussi longtemps que cela servira cette raison d’être.
C’est aussi pour répondre à cette mission que j’écris ce bulletin qui est d’ailleurs lu maintenant plus de 300 fois par semaine - avec des pics s’approchant de 1000.
Votre feedback est toujours bienvenu, surtout si ça aide à augmenter notre impact! 😉